1er juillet 1934Naissance à Lafayette (Indiana).
1965"Trente minutes de sursis".
1970"On achève bien les chevaux".
1975"Les Trois Jours du Condor".
1982"Tootsie".
1986"Out of Africa".
26 mai 2008 Décès à Los Angeles (Californie).
LB
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Libellés : France, francophonie, legion d'honneur
Une initiative des régions pour relancer le tourisme autour des Châteaux de la Loire, monuments du patrimoine et de la culture français au Patrimoine mondial de l’humanité de l’UNESCO.
Pour pallier, à une forte disparité de visites entre les Châteaux (700 000 pour Chambord contre 100 000 pour les Châteaux de Langeais ou de Chinon), la Mission Val de Loire envisage la création d’un pass inter-site, afin de multiplier les visites dans la région. De plus, la mission envisage également pour développer le nombre de touristes d’améliorer l’accessibilité aux personnes handicapées, de diversifier les animations, le développement du support numérique, la mise en place d’un portail d’information commun, et des voyages de promotion vers des pays comme la Chine et la Russie.
Cette coopération entre les différents sites du Val de Loire permettra aux Français comme aux touristes étrangers de découvrir ou redécouvrir le patrimoine français.
BG
Source : Le Monde du 21/05/2008
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Libellés : monuments historiques, patrimoine français, UNESCO
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Libellés : arts, école, enseignement
Le coup d'envoi de la 61ème édition du festival de Cannes vient d'être donné! Aux côtés de The Changeling de Clint Eastwood, Che de Steven Soderbergh, Il Divo de Paolo Sorrentino, la sélection française est représentée par Entre les murs de Laurent Cantet, Un conte de Noël d'Arnaud Desplechin et La frontière de l'aube de Philippe Garrel. Président du jury 2008, Sean Penn a donné le ton : il veut un festival "politique"...
Mais saviez que le festival de Cannes, c'est:
- un budget de 20 millions d’euros dont la moitié provient de fonds publics par l'intermédiaire du Ministère de la Culture (Centre National de la Cinématographie), de la Ville de Cannes et d’autres collectivités territoriales (le Conseil Régional Provence-Alpes-Côte d'Azur et le Conseil Général des Alpes Maritimes). Le financement est complété par les apports d'un certain nombre de groupements professionnels, partenaires institutionnels et de sociétés privées, partenaires officiels du Festival.
- 3611 journalistes couvrant l'évènement en 2007 quand ils étaient 700 en 1966
- 2576 médias étrangers représentant 82 pays (contre 58 il y a 40 ans)
- 25000 accréditations réparties essentiellement entre auteurs, réalisateurs, producteurs et distributeurs venus de 117 pays
- un marché du film qui a plus de doublé depuis 1994 avec 926 longs métrages en 2007.
Une organisation, une résonance internationale qui feraient presque croire que l'industrie du cinéma existe en France !
LS
Source :
http://www.festival-cannes.fr/fr/about/factsAndFigures.html
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Source image : RSR.CH
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Le 13 mai dernier se déroulait la cérémonie du "Gérard du Cinéma", ce prix est loin d'être honorifique (quoique?)...
Il bon de voir que tout n'est pas si parfait dans le monde du Cinéma...
LB
source : Ouest-France
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Libellés : cinéma
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Yann Le Quellec, directeur général de CEC Europe, étudie déjà "deux ou trois projets qui devraient raisonnablement aboutir" à hauteur de 150 millions d'euros, dans des entreprises françaises et européennes. La musique, la télévision et le jeu vidéo sont également dans la ligne de mire de CEC.
Des banques investissent déjà en France dans des sociétés de cinéma ; des Sofica lèvent aussi des fonds (63 millions d'euros en 2007). Mais l'action de CEC est différente. Elle intervient hors de tout cadre réglementaire, et donc sans limitations quantitatives. Dans les années qui suivent, CEC Europe compte, si tout se passe bien, investir dans trois projets environ, autour de 50 millions d'euros chacun, toujours auprès d'entreprises, "mais aussi directement sur des films", explique Yann Le Quellec.
Cette pratique dite du slate financing s'est développée aux Etats-Unis. Elle consiste à mettre les fonds levés à la disposition des studios pour qu'ils les investissent exclusivement dans les budgets de leurs prochains films. Aux Etats-Unis, la Société générale, Merrill Lynch, Deutsche Bank ou encore Goldman Sachs ont identifié le cinéma comme potentiellement rentable et déconnecté des fluctuations des marchés financiers.
En quatre années, 12 milliards de dollars ont ainsi été investis dans le cinéma, essentiellement aux Etats-Unis. Warner a financé de cette manière Batman Begins de Christopher Nolan ou La Jeune Fille de l'eau de M. Night Shyamalan. Depuis les Etats-Unis où elle a été créée en 2007, CEC a investi dans le film The Spirit de Frank Miller, en préparation. Elle a aussi investi dans un fonds consacré aux investissements asiatiques de la maison de production américaine Weinstein Company, et dans un autre monté pour la minimajor européenne Wild Bunch, qui s'est retrouvée pionnière en Europe dans l'utilisation de ce type de financement.
LE DIABLE DANS LES DÉTAILS
Les 150 millions d'euros annoncés pour la France restent modestes par rapport aux investissements similaires aux Etats-Unis - taille du marché européen et crise boursière obligent. "Seuls les projets de qualité trouveront à se financer, affirme Yann Le Quellec. Cela tombe bien : nous sommes là pour durer." Cette société entend populariser un mode de financement qui présente l'avantage de soulager le producteur du laborieux travail de quête de financements. Il pourrait réduire certains effets pervers inhérents au système de production français, comme la multiplication des partenaires financiers qui, sur les gros films, prive bon nombre de producteurs de leurs recettes d'exploitation.
Yann Le Quellec est conscient de la prévention que peut susciter l'arrivée d'une société américaine liée à la haute finance dans un cinéma français protégé par un cadre réglementé. Il assure que la "diversité culturelle" est au coeur de son modèle : "Nous devons investir dans des films à budgets variables, les gros et les petits, mais aussi les moyens qui ont souvent un bon potentiel à l'international."
Yann Le Quellec, 33 ans, diplômé d'HEC et "cinéphile", a fait ses armes dans la banque d'affaires. Il a connu CEC alors qu'il levait des fonds pour le compte de Wild Bunch. Il y a trois ans, il a cofondé la Sofica Cinémage, avec laquelle il a investi plus de 8 millions d'euros dans une trentaine de films français, qui vont de La France de Serge Bozon aux deux films en préparation de Jean-François Richet sur Jacques Mesrine.
CEC ciblera ses investissements en fonction de la "vision stratégique" des producteurs et distributeurs et de la "diversité" de leurs projets. Libre de produire ainsi les films de son choix, le producteur sera tenu, pour qu'il bénéficie de cet argent, de respecter un certain nombre de règles qui "ont vocation à aligner les intérêts du financier et du producteur". L'un et l'autre se rémunéreront sur les recettes des films produits en partenariat.
E.S.
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Libellés : CEC Europe, cinéma, Citi
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Libellés : anniversaire, Champlain, francophonie, Québec
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Libellés : cinéma, Dossier 51, espionnage, profil psychologique, source humaine
"Le printemps venu, les nuits deviennent parfois si courtes que les musées ne ferment pas. Le samedi 17 mai aura lieu la quatrième Nuit des musées qui tiendra en éveil des centaines de musées dans toute l'Europe."
Le Figaro, par Marie-Douce Albert
Lire la suite de l’article du Figaro
Site de la Nuit des Musées : www.nuitdesmusees.culture.fr
BG
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